lundi 19 octobre 2015

Françoise de Felice



























Une artiste que j'adore...

Une parfaite harmonie de poésie, de volupté et de sensualité...Déjà évoqué ici

Françoise de Felice d’ascendance italienne par son père et de mère française est
née à Paris où elle a passé ses 20 premières années .
Petite fille elle fut initiée à l’art graphique par sa grand mère qui avait fréquenté un
atelier de publicité à l’époque du Chat Noir, attenant à celui de Fernand Léger .
Parallèlement à la Sorbonne, elle fréquenta les Beaux Arts en auditeur libre.
Françoise eut comme première approche , l’étape incontournable de l’impressionnisme qu’elle déclina sous toutes ses formes jusqu’en 1982.
Puis elle quitta la France et s’installa en Sicile où là l’impressionnisme français ne
lui suffit plus. Il lui fallait construire sa propre personnalité, lâcher les sentiers battus, créer sa signature .
Les splendeurs du baroque sicilien et la lumière de l’île aidant , elle se mit à jouer entre des fondus presque liquides et un tracé fin mais précis. Le style, son style est né du hasard et du vouloir confondus. elle fit de sa peinture une histoire introspective, manière d’auto-analyse.
Après de nombreux va et vient entre la méditerranée et la France elle finit par se
fixer en Île de France près de Paris dans un atelier où elle a organisé une succession d’expositions internationales, dans de grandes villes comme Caracas, mais aussi en Europe à Padoue, Rome, Londres, Paris etc...
Elle expose actuellement à Dinard à la galerie Mirko Maria Calderone, à Annecy à la galerie Au delà des apparences, à Caracas Galerie Vita Arte et prépare des expositions pour Strasbourg et Paris.















3 commentaires:

R. a dit…

Me han encantado , son preciosos ! Esos colores pasteles transmiten una serenidad que armoniza a la perfección con la elegancia y belleza magistral que derrocha la autora.


Saludos.

LE CHEMIN DES GRANDS JARDINS a dit…

Mis à part la maîtrise de son art, cette artiste surdouée, m'a tout de suite emporté dans son monde. On est séduit d'entrée, par la douceur des très des personnages, leur posture, leur douceur, la mise en scène et l'abondance des couleurs. J'avoue sortir de cette exposition, totalement grisé, baissant les armes et prêt à me laisser embarquer dans cette onirique randonnée, dont on ne calcule pas les dangers.
Parvenir à faire oublier que l'on est dans le virtuel, avec de tels sujets délicats, c'est bien la preuve que l'on est là devant une œuvre majeure qu'il convient de saluer. Merci à toi de nous la faire connaître. Amitiés.

Roger

beatrice De a dit…

Vrai peinture féminine ouverte à l'imagination ! Très beau.